Cet été, l’Australie et la Nouvelle-Zélande ont accueilli la neuvième Coupe du Monde féminine 2023 et par là-même le plus grand événement de l’histoire du sport féminin. Outre l’équipe espagnole qui a remporté le titre, l’Eden Park Stadium avait lui aussi une bonne raison de se réjouir.

L’Eden Park Stadium, situé à Auckland, est le plus grand stade de Nouvelle-Zélande. Tout au long de l’année, près de 50 000 fans de rugby et de cricket viennent assister aux matchs. Cet été, le stade a accueilli une fois de plus la Coupe du monde de football féminin organisé par la FIFA. Il faisait partie de l’un des dix sites d’Australie et de Nouvelle-Zélande où les matchs se sont déroulés, et a reçu pour la neuvième fois les représentantes de l’élite du football féminin, notamment lors du match d’ouverture. Au cours du tournoi, 350 000 supporters ont franchi les tourniquets Axess installés aux portes du stade.

Acteurs de rang mondial 

• Avant la Coupe du monde, Nick Sautner, PDG de l’Eden Park Stadium, a déclaré : « Nous nous engageons à ce que toutes les installations et les infrastructures du stade soient de rang mondial et conviennent à l’organisation de cet important tournoi ». Afin d’être à la hauteur de ses attentes, N. Sautner a engagé Axess pour une mission spéciale. Aussi, l’Eden Park a été le seul stade à s’être modernisé pour répondre pleinement aux exigences de la FIFA et de son partenaire de billetterie Secu-tix. Tous les autres stades d’Australie et de Nouvelle-Zélande n’ont pas été en mesure d’intégrer Secu-tix. Le système Axess était si sophistiqué que l’Eden Park pouvait garantir à la fois un accès fluide et un reporting parfaitement détaillé.

  Moments inoubliables

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• En ayant tenu ses promesses, l’Eden Park Stadium a largement contribué au succès de la Coupe du Monde et le taux de fréquentation a dépassé tous les records pour des matchs de football tant masculin que féminin. « Ce que nous avons vécu à l’Eden Park, mais aussi en Australie, entrera dans notre histoire comme un chapitre inoubliable et ces souvenirs resteront à jamais gravés dans notre mémoire », conclut Nick Sautner.